24 décembre 2012

Le sens de Noël


Pour les chrétiens, la fête de Noël (du latin natalis, "naissance", "nativité") célèbre la naissance de Jésus, Fils de Dieu, le Sauveur attendu, annoncé par les prophètes.

Jésus veut dire en hébreu "Dieu sauve". Ce nom même révèle son identité et sa mission, sauver les hommes et les conduire vers le Père.

La naissance de Jésus est le coeur de ce qu'on appelle le "mystère de l'Incarnation": "Au temps établi par Dieu, le Fils unique du Père, la Parole éternelle, s'est incarné : sans perdre la nature divine, Il a assumé la nature humaine".

Le Credo - également appelé « Je crois en Dieu » -, récité au cours de chaque messe dominicale, résume ainsi cet événement : « Pour nous les hommes et pour notre salut, Il descendit du ciel. Par l'Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s'est fait homme ».

Le Fils de Dieu s'est fait homme !

Comme le racontent les évangélistes Luc et Mathieu, Marie « mit au monde son fils premier-né ; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire ». Dans les environs, se trouvaient des bergers. L'Ange du Seigneur s'approcha et leur dit : « Aujourd'hui vous est né un Sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire ».

« Rien de merveilleux, rien d'extraordinaire, rien d'éclatant n'est donné comme signe aux bergers, commentait récemment le pape Benoit XVI. Ils verront seulement un enfant entouré de langes qui, comme tous les enfants, a besoin de soins maternels ; un enfant qui est né dans une étable et qui, de ce fait, est couché non pas dans un berceau, mais dans une mangeoire. Le signe de Dieu est l'enfant, avec son besoin d'aide et sa pauvreté ».

Cette simplicité est frappante en effet : le fils de Dieu n'est pas venu avec puissance ni grandeur visible. Il ne s'est pas imposé. Ainsi, en l'absence de place dans la salle commune, Il s'est contenté d'une mangeoire, habituellement réservée aux animaux.

Dans l'étonnant déroulement de cet évènement inouï - le Fils de Dieu s'est fait homme ! -, les Pères de l'Eglise ont vu bien des signes : d'abord parce que l'enfant de Bethléem est né pauvre parmi les pauvres qu'étaient les bergers.

Egalement parce qu'enfant, il est faible et sans défense. Jésus vient ainsi parmi les hommes en partageant en tout leur condition humaine, à l'exception du péché. Il dira d'ailleurs plus tard « J'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi ! ».

Il ne parlait pas, alors, des circonstances de sa naissance. Mais il exprimait ce que nous constatons lors de sa naissance : Il s'identifie à chacun de nous. « Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits qui sont mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait ».

Par ailleurs, la venue des rois mages manifeste que le Fils de Dieu est venu pour les hommes de tous les pays et de tous les temps. Et en effet, à la fin de sa vie terrestre, Jésus enverra ses apôtres en mission en leur disant : « Allez dans le monde entier, proclamez l'Evangile à toute la création ». 

La mangeoire, enfin, symbolise l'autel. Pour vivre, l'homme a besoin de nourriture. Mais, comme Jésus le dira souvent au cours de sa vie publique, l'homme n'a pas seulement besoin de pain, il a aussi besoin de nourriture pour son âme, d'un sens à donner à sa vie. C'est pourquoi les Pères de l'Eglise considèrent que la mangeoire est le symbole de l'autel, sur lequel est déposé le Pain, qui est le Christ lui-même : la vraie nourriture pour le cœur. De même, dans l'hostie consacrée au cours de la messe, il a l'humble apparence d'un morceau de pain.

A Noël Dieu se donne aux hommes

Dieu se donne aux hommes, à Noël, en la personne de Jésus-Christ, comme au cours de chaque messe célébrée quelque part dans le monde.

C'est pourquoi Noël est la fête des dons, pour imiter Dieu qui s'est donné Lui-même aux hommes.

Malgré les temps difficiles que nous traversons, la célébration de Noël nous rappelle que Dieu ne cesse de répandre dans le cœur des hommes des sentiments de paix, d'amour et de confiance.

Le message de Noël résiste aux violences et aux effondrements. La naissance de Jésus est le signe de la vie qui ne cesse de se renouveler telle une source permanente d'espérance pour le monde.

Quoiqu'on ignore le jour et l'heure précis de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré depuis des siècles dans la nuit du 24 au 25 décembre. Les chrétiens donnant à cet évènement le sens de ce qui est pour eux la venue de la vraie lumière - celle du Christ -, le choix de cette date est à mettre en lien avec le solstice d'hiver, moment où le jour prend peu à peu le pas sur l'obscurité. L'heure de minuit est tout aussi symbolique : elle marque l'arrivée d'un jour nouveau.


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

La gentillesse comme un boomerang....

Regardez comment la caméra suit un acte de bonté, comme il est passé d'un individu à l'autre et revient comme un boomerang à la personne qui l'a mis en mouvement.


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Chant : C'est Noël tous les jours


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

L’archange saint Michel.


Michel (de l'hébreu : מיכאל, en arabe ميكائيل, Mîkâ'îl), Raphaël et Gabriel sont les seuls saints anges que la Bible désigne par leur nom, mais seul Michel est appelé archange par la Bible (Jude 9).

Saint Michel est un archange connu et vénéré par les Églises chrétiennes. Il est le chef de la milice angélique. Fêtes principales le 29 septembre et le 8 novembre, mais aussi le 8 mai, 6 septembre, 16 octobre et le troisième dimanche de Pâques (c'est-à-dire le deuxième dimanche après Pâques).

L’archange saint Michel dont le nom signifie « Qui est comme Dieu » (étymologiquement EL « dieu » et MI, CHA « qui est semblable ») est un personnage de la Bible très populaire dans la religion chrétienne.

La forme interrogative est importante, car nul ne saurait se proclamer semblable à Dieu : c'est au contraire le diable,(Lucifer (l'ange de lumière), Satan (l'accusateur)), qui tente la femme et l'homme à « être comme Dieu » provoquant ainsi leur perte. C'est pourquoi saint Michel et la Milice céleste sont victorieux face à Satan et aux démons, qui refusent de servir les desseins de Dieu et en particulier l'homme et la femme, qu'ils jugeaient inférieurs aux anges à cause de leur nature incarnée: le mal finit toujours par être vaincu. A cause de son orgueil insensé, prétendant se mesurer à la Puissance de Dieu, qui est Bonté infinie envers l'homme et la femme, le diable a déjà perdu, car, « Qui est semblable à Dieu? »

Comme saint Michel, les chrétiens veulent d’abord « servir » par amour Dieu et leur prochain : serviam, ou « je servirai ». Selon la religion chrétienne, Dieu lui-même s'est voulu serviteur de la cause humaine en se faisant homme et en mourant pour chacun d'entre eux. Le catholicisme, ajoute qu' une femme est la Reine des anges : la Vierge Marie, Mère du Christ, qui a dit « je suis la Servante du Seigneur » (Luc, 1, 38). Quant au calvinisme, il prétend que la Miséricorde de Dieu est si grande que même les démons se convertiront et seront sauvés.

Seul saint Michel est appelé « l’archange » ou ange en chef dans la bible canonique. Il est aussi appelé : Prince des Archanges, Archange du Premier Rayon, Défenseur de la Foi.

Il est le prince de tous les bons anges, le chef des forces du ciel, des armées célestes, le Champion du Bien.

C'est saint Michel qui pèsera les âmes lors du Jugement dernier et qui emmènera les âmes des élus au Paradis. On dit qu'il est psychostase et psychopompe.

Fait intéressant, dans la plupart des religions non judéo-chrétiennes, les esprits mauvais sont seulement chassés des personnes qu'ils tourmentent, alors que dans les religions judéo-chrétiennes, le démon est repoussé définitivement par Saint Michel et ses anges hors du monde, jusqu'au fond des enfers.

Il est le protecteur du peuple d'Israël, de l'Église romaine et de la France depuis les Valois, de la ville de Bruxelles, de l'Allemagne et du Burkina Faso, et le saint Patron de la Normandie et des parachutistes.

Saint Michel dans la Bible

Saint Michel combattant le dragon.
Il apparaît de nombreuses fois dans la Bible. Dans l'Ancien Testament, il est vu quand Dieu s'adresse aux hommes et est envoyé, messager, porteur de la Nouvelle.

Bien que son nom ne soit pas cité explicitement, on reconnait parfois que c'est lui qui retint la main d'Abraham qui s'apprêtait à immoler son fils Isaac, lui qui apparut à Josué à Jéricho et le fit vainqueur, lui qui aida David à combattre Goliath.[réf. nécessaire]

Saint Michel apparaît au voyant prophète Daniel (Dan 10,13-21 ; 12,1).

Il entre en conteste avec Satan dans l'épître de Jude (v. 9).

Dans les visions grandioses de saint Jean au livre de l'Apocalypse (Ap 12,7ss), il terrasse le dragon (Satan) et l'expulse du Paradis, en lui disant « Quis ut deus », c'est-à-dire en latin , « Qui est Dieu ? » (en référence à l'orgueil de Satan qui voulait monter au plus haut des montagnes et se montrer ainsi semblable au Très-Haut)[réf. nécessaire].

Pour les catholiques, l'archange saint Michel est donc l'une des premières personnes à invoquer pour obtenir une protection contre les Démons.

L'archange Michel dans le Coran

L'archange Michel est cité également dans le Coran comme étant un ange de Dieu.

Chapitre 2 la vache (Al-baqara) (versets 97,98): 97. Dis : « Quiconque est ennemi de Gabriel doit connaître que c'est lui qui, avec la permission de Dieu, a fait descendre sur ton cœur cette révélation qui déclare véridiques les messages antérieurs et qui sert aux croyants de guide et d'heureuse annonce ».

98- Celui qui se déclare l'ennemi de Dieu, de Ses anges, de Ses Prophètes, de Gabriel et Michel, Dieu se déclare l'ennemi des mécréants. .

Son culte

Dès le IVe siècle, le culte de saint Michel est largement répandu en Orient. Il fait son apparition en Occident à la fin du Ve siècle avec l'élévation d'un premier sanctuaire à Monte Sant'Angelo dans le massif du Gargano en Italie en 492.

Vers l'an mil, de nombreuses chapelles et édifices lui ont été dédiés. Ils sont généralement édifiés dans des lieux élevés pour rappeler que saint Michel est le chef des anges. Un des plus célèbres de ces sites est Le Mont-Saint-Michel en Normandie, mais on peut également citer le Menez Mikael (Mont Saint-Michel de Brasparts) en Bretagne, le Saint Michael Mount en Cornouailles et le Monte Sant'Angelo en Italie dans le massif du Gargano, ainsi que la Sacra di San Michele dans la vallée de Suse. Les pèlerins s'y rendaient pour recommander leur âme à l'archange et pour demander sa protection.

Saint Michel prit une nouvelle dimension à la Contre-Réforme. Aux yeux de l'Église catholique, il est le seul ange militaire pouvant assurer la lutte contre « l'hérésie  » protestante. Dans ce rôle d'ange combattant, il est représenté avec une épée.

On le fête à différentes dates au cours de l'année :

8 mai : on commémore l'apparition de l'archange au pape saint Grégoire Ier le Grand en 590.  La grande peste ravage Rome, des processions de pénitence et de rogation sont organisées dans toute la Ville et saint Michel apparaît au pape et aux Romains à la fin d'une de ces processions, au sommet du château du mausolée d'Hadrien, remettant son épée au fourreau, signifiant que leurs prières sont exaucées et ainsi la fin de l'épidémie. Pour commémorer l’évènement  on édifia une chapelle et une statue de l'archange au sommet de la forteresse qui prit alors l'appellation de château Saint-Ange, ainsi qu'une fête à saint Michel, la Saint-Michel de printemps.

6 septembre : on commémore le miracle de Chône en Phrygie dans les premiers temps du christianisme.
Saint Michel sauve un saint personnage, Archippe, persécuté par des païens et qui s'était réfugié dans une église dédiée à l'archange. Les païens avaient déclenché une grosse inondation en ouvrant les écluses d'un barrage sur un cours d'eau pour tuer Archippe. Une vague déferla et menaça d'engloutir l'église avec son réfugié en prière, mais saint Michel détourna celle-ci, sauvant l'homme et le sanctuaire. Cette fête est surtout commémorée en Orient.

29 septembre : fête principale en Occident, c'est la Saint-Michel d’automne. On fête saint Michel avec les autres saints Archanges, le jour où saint Michel est apparu au Mont Gargan dans les Pouilles en 493[réf. nécessaire].  (En France, le 29 septembre était la date à laquelle les fermiers et métayers payaient leurs fermages après la récolte.[réf. nécessaire] C’est donc la date traditionnelle d'expiration des baux ruraux, d’où l'expression à la Saint-Michel, tout le monde déménage.).

16 octobre : on commémore la dédicace de l'abbatiale du Mont-Saint-Michel, le 16 octobre 709 par saint Aubert d'Avranches.

8 novembre : fête de saint Michel en Orient.

Autres représentations

Saint Michel est aussi le patron de l'Église Catholique, de l'Allemagne, de la Normandie et de la ville de Bruxelles et de plusieurs corps de métiers anciens, comme les épiciers, les escrimeurs, les manœuvriers, les policiers, les soldats, les bateliers, les boulangers, les pâtissiers, les tonneliers ou plus récents comme les parachutistes.

Très populaire parmi les Lombards d'Italie, qui le considéraient comme leur saint protecteur, leurs rois et princes illustraient souvent leurs monnaies à son effigie.

Apparitions

Il apparut à Saint Grégoire le Grand le 8 mai 590 au sommet du Château Saint-Ange, à un berger au sommet du Gargano, en Pouilles, au Mont-Saint-Michel en Normandie et à Jeanne d'Arc à Domrémy.

Le 18 juin 1961, l'archange Saint-Michel annonça les apparitions mariales à venir de Garabandal[1].

Les tropaires et prières à saint Michel

Chef des Armées célestes,
nous te prions,
indignes que nous sommes,
entoure-nous de tes prières,
couvre-nous des ailes de ta gloire immatérielle,
veille sur nous qui à genoux te crions :
"Chef des Armées célestes,
délivre-nous des périls".

Petit exorcisme 

Saint Michel Archange,
défendez -nous dans le combat.
Soyez notre soutien contre la perfidie et les embûches du démon.
Que Dieu réprime son audace ! telle est notre humble prière.
Et vous, Prince de la milice céleste, par la vertu divine,
Refoulez en enfer Satan et les autres esprits mauvais ,
qui sont répandus dans le monde pour perdre les âmes.
Ainsi soit-il.
Cœur sacré de Jésus.
Ayez pitié de nous (3 fois)

Prière Catholique

Saint Michel Archange,
Défendez-nous dans le Combat,
Et soyez notre Protecteur contre la méchanceté et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande, nous L'en supplions.
Et vous, Prince de la Milice Céleste, par les pouvoirs Divins qui vous sont conférés,
Précipitez au fond des enfers Satan et tous les esprits mauvais qui parcourent le monde pour la perte des âmes. Amen.


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

L'ange Gabriel


Comme l’observe saint Thomas, le seul voisinage, le seul contact de l’ange suffisent pour nous rendre meilleurs. Le saint enseigne, en effet, qu’en se tournant vers les anges inférieurs ou vers les âmes humaines, et en s’approchant d’elles, les esprits célestes les fortifient en leur communiquant quelque chose de leur propre perfection. Le feu rayonne et répand autour de lui la chaleur; la flamme diffuse autour d’elle sa lumière; le mouvement d’un corps solide jeté dans l’eau se propage de cercle en cercle jusqu’au bord. De même aussi le contact avec une personne vertueuse nous rend meilleur. A approcher un saint, même sans lui parler, vous vous sentez pénétré par je ne sais quelle aspiration à la vertu, au bien, à la sainteté.

De même le monde des esprits rayonne de chaleur, de lumière et de vertu. Une touche mystérieuse, intime, profonde, émane comme un effluve spirituel, communiquant qualités et perfections.

Pourquoi donc ne recevrions-nous rien de tout cela de l’esprit céleste qui est toujours à nos côtés ? Avec les plus grands théologiens, nous pouvons donc croire que son voisinage nous fortifie, nous purifie, nous rend de toute façon meilleurs que nous ne serions autrement. Cette influence bénéfique devient presque visible et palpable dans la vie des saints. Si eux, bien que faits comme tous les autres hommes, sujets aux mêmes passions et aux mêmes misères, s’élevèrent à une perfection quasi angélique, ne faut-il pas attribuer cette progression aussi à l’influence de l’ange ?

A Arrighini, Gli Angeli buoni e cattivi, Rome, 1937
Cité par George Huber, in Mon ange marchera devant toi, p. 95.

Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

12 décembre 2012

Chant sacré : Angélus



Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Notre Dame de Guadalupe


On fête  en ce jour l’apparition de la Vierge Marie en 1531 devant Juan Diego Cuauhtlatoatzin un indien converti au christianisme quelques années après la conquête du Mexique par Hernán Cortés, originaire d’Extremadur en Espagne, région dont la Vierge de Guadalupe est la sainte patronne. Juan Diego est mort à Mexico, le 30 mai 1548, à l’âge de 74 ans. Il a été béatifié en 1990 et canonisé en 2002 par le pape Jean-Paul II. Il est bon d’en connaître l’histoire que nous reprenons de notre ancienne revue de la Médaille Miraculeuse.

Depuis dix ans déjà, les Espagnols s’étaient rendus maîtres du Mexique. Leurs missionnaires prêchaient sans grand succès l’Évangile aux pauvres indigènes vaincus et humiliés par la conquête. Nouveau converti, un pauvre indien, baptisé sous le nom de Juan-Diego, se rendait un matin à la messe en la paroisse de son baptême à Mexico. De son village de Tolpetiac à la capitale, il avait quatre bonnes lieues à franchir. Mais comme c’était le jour de Notre Dame, le samedi 9 décembre 1531, il ne voulait pour rien au monde manquer à l’office. Gravissant la colline de Tolpetiac, il invoquait déjà la Vierge de toute son âme.

Parvenu au sommet de la colline, un chant magnifique parvint à ses oreilles. Devant. les yeux, il vit, dans un nuage éblouissant, une Dame d’une merveilleuse beauté qui lui souriait. Elle portait les vêtements magnifiques des princesses aztèques de sa race. Elle lui parla avec douceur. Elle lui dit sa volonté de voir une chapelle bâtie en son honneur, sur cette colline, promettant qu’elle veillerait sur tous les pauvres indiens. Elle donna mission à Juan-Diego de porter ce message à l’Évêque espagnol de Mexico.

Non sans mal – on fit attendre longtemps le pauvre indien – Juan-Diego put approcher du prélat et lui présenter son extraordinaire requête. Bienveillant mais sceptique, l’évêque l’écouta puis le congédia en lui disant qu’il réfléchirait à cette affaire en son temps. Juan-Diego revint au lieu de l’apparition et à la Vierge qui l’attendait, il demanda avec insistance qu’un autre messager fut envoyé par elle. Mais la Vierge n’en fit rien et ordonna au pauvre indien de revoir l’Évêque et de lui redire sa volonté de Mère de Dieu.

Le prélat consentit à recevoir encore Juan-Diego mais lui demanda un signe manifestant clairement l’identité et la volonté de la Dame de la colline. La Vierge déféra à ce désir et donna rendez-vous à Juan-Diego pour le lendemain où Elle donnerait le signe réclamé.

Hélas ! De retour chez lui, Juan-Diego trouva son oncle à toute extrémité. Il le soigna avec empressement et fut infidèle au rendez-vous de la colline. La maladie de son oncle empirant, il décida d’aller quérir un prêtre de la capitale pour l’assister à ses derniers moments. Pour éviter le lieu de l’apparition, le pauvre indien prit un chemin de détour par le Sud. Mais voici que Notre-Dame vint Elle-même à sa rencontre. Elle lui annonça la guérison de son parent et l’invita à monter sur la colline cueillir les fleurs qu’il y trouverait et qui seraient le signe exigé.

En cette saison et sur la colline de Tolpetiac, particulièrement dénudée, aucune fleur ne poussait. L’Indien trouva cependant un magnifique parterre de roses. Il en emplit son manteau et les porta à l’Évêque de Mexico. Déjà étonné par ces fleurs insolites, le prélat fut définitivement ébranlé lorsqu’il vit sur le manteau de Juan l’image de la Vierge telle qu’elle lui était apparue. L’Évêque s’agenouilla pour recueillir l’image miraculeuse qu’il transporta en sa chapelle. Des foules vinrent immédiatement la contempler et la vénérer. Sur la colline de l’apparition un sanctuaire fut érigé. Réticents jusqu’alors, d’innombrables indiens demandèrent dès lors le baptême. Le sanctuaire de Notre-Dame de Guadeloupe devint immédiatement le plus important centre de pèlerinage de tout le continent. Pie X ne fit que reconnaître ce fait en proclamant officiellement Notre-Dame de la Guadeloupe, Patronne de toute l’Amérique latine.

René Sallerin, cm – La Médaille Miraculeuse n°2, 1958 p. 19

« Je demande à Notre-Dame de Guadalupe d'éclairer les peuples du Nouveau Monde tout au long du troisième millénaire. »
 Jean-Paul II


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

10 décembre 2012

Chant - Adoro Te


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

08 décembre 2012

05 décembre 2012

04 décembre 2012

Chant - Tantum Ergo Sacramentum

Chant Grégorien - Texte de St François d'Aquin



Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

03 décembre 2012

02 décembre 2012

Chant Coeur de Jésus




Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

29 novembre 2012

RITE & CHANT GALLICANS


Le Rite Gallican

Le terme « rite gallican » désigne les rites de la liturgie catholique tels qu'ils étaient pratiqués en Gaule jusqu'au IXe siècle. Par la suite, notamment après les réformes carolingiennes et jusqu'à la fin du XIXe siècle, on a généralement attribué ce nom aux liturgies célébrées selon les rites propres à une majorité des diocèses de France.

La liturgie gallicane est assez mal connue, car son organisation n'a pas survécu telle qu'elle était à la réforme de Charlemagne. Par sa structure, la liturgie gallicane est apparentée à la liturgie wisigothique de l'Espagne, qui connait une grande prière sacerdotale composée de pièces mobiles. On y constate, au VIIe ou VIIIe siècle av. J.-C., une influence des usages orientaux, notamment du rite syriaque oriental.

Par la suite, on a souvent appelé "rite gallican" les liturgies locales des diocèses de France.  Héritières des liturgies de la Gaule, mais fortement romanisées depuis le réforme de Charlemagne, notamment par l'introduction du Canon romain, ces liturgies néo-gallicanes se caractérisent par le faste déployé et le nombre de ministres officiant lors de la messe solennelle.

Leur maintien après le Concile de Trente et la réforme liturgique de saint Pie V a été justifié par le fait qu'elles avaient plus de deux cents ans d'existence. Cependant, au XVIIIe siècle, on constate une prolifération assez anarchiques des livres liturgiques français et des diocèses qui n'avaient jusqu'alors pas de liturgie propre se créent la leur, s'inspirant des liturgies des territoires voisins ou, assez souvent, de la liturgie parisienne.

Lors de la négociation du concordat de 1802, le Saint-Siège accorda sa reconnaissance tacite à ces liturgies. Ce n'est que suite à l'entreprise de dom Guéranger pour restaurer la liturgie romaine que les diocèses de France, pendant la seconde moitié du XIXe siècle, adoptèrent progressivement l'usage romain, non sans conserver, avec l'accord de Rome qui devenait source de cette liturgie, quelques rites de leurs anciens livres et certaines coutumes immémoriales.

Chant gallican

Le Gallican est le nom donné au chant liturgique des chrétiens de Gaule, sous la dynastie Mérovingienne.  Sa disparition est due à une réforme effectuée sous Pépin le Bref: ce dernier a imposé au royaume Franc une liturgie commune afin d'unifier son royaume. Il a choisi le chant de l'Empire romain (Chant vieux-romain), bien que les rares documents contemporains restants décrivent le Gallican comme étant somptueux et le chant de Rome comme très plat. Cette réforme subite aura pour conséquente la fusion de ces deux chants pour donner le chant messin, plus tard renommé chant grégorien.



Cantique des trois enfants




Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

28 novembre 2012

ABBAYE DE NOTRE-DAME DU BEC HELLOUIN


Tour d'horizon extérieur du site classé de l'Abbaye de Notre-Dame du Bec, chez les bénédictins et bénédictines de l'ordre de Saint-Benoît, au Bec Hellouin, dans l'Eure en Haute-Normandie.



Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Morgane Akhara - Keys from Heaven




Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

24 novembre 2012

Les sept visages de Marie-Madeleine




Par Laura Wincker  
Article paru dans la revue N°204 

Ce sujet a été mis à la mode par l’ouvrage Da Vinci Code. Elle apparaît comme étant la compagne présupposée du Christ. Mais qui était Marie-Madeleine en réalité ?   Les évangiles se réfèrent à la présence des «Saintes Femmes» qui accompagnent Jésus.   Marie-Madeleine apparaît à quatre reprises mais en fait, trois personnages se confondent dans la figure de cette femme. 

La Pécheresse repentie

Marie-Madeleine apparaît d’abord comme la Pécheresse repentie, la prostituée de laquelle Jésus va extraire sept démons. Lorsque le Christ se rend chez Simon au commencement de sa prédication, une femme apparaît, et va l’oindre avec des parfums, pleurer à ses pieds, les lui laver et les essuyer avec ses cheveux : lorsque Simon réagit en demandant au Christ pourquoi il se laisse toucher par cette femme impure, le Christ lui répond : «Tous ses péchés seront remis car elle a montré beaucoup d’amour» (Luc). Ainsi Marie-Madeleine est-elle associée aux notions de purification et de rédemption.

Marie de Béthanie

Marie-Madeleine se confond ensuite avec Marie de Béthanie, sœur de Marthe et Lazare. 

À l’approche de sa crucifixion, le Christ se rend chez Simon le Lépreux où apparaît de nouveau Marie de Béthanie, qui va venir l’oindre complètement d’un parfum très riche. Lorsque Judas parle de gaspillage, Jésus lui répond de la laisser faire, car il s’agit en réalité de son onction funèbre. 

Les quatre Évangélistes évoquent la présence de Marie-Madeleine au pied de la Croix en compagnie des autres Saintes Femmes, Marie et sa sœur. Selon l’apôtre Jean, c’est Marie de Magdala qui constate le tombeau vide, qui voit la première le Corps de Gloire du Christ et parle à Jésus ressuscité. Celui-ci la charge de transmettre ses paroles aux apôtres. 

Marie-Madeleine en France

L’avènement de Marie-Madeleine en France est d’abord lié à cette traversée de la Méditerranée, miraculeuse, extraordinaire, avec famille et compagnons sur un frêle esquif sans voile, jusqu’au petit port des Saintes-Maries-de-la-Mer. Elle transmet l’Évangile à Marseille et dans sa région, pour s’installer ensuite dans une grotte qui deviendra la Sainte-Baume, lieu de pèlerinage et de vie monastique. 

À partir du Vème siècle, des récits la citent et l’associent à Saint-Maximin où elle aurait été enterrée. Des pèlerinages ont lieu et, tout au long du Moyen-Âge, on emprunte le «Chemin des Rois». En 1295 sont construits un couvent et la basilique gothique St Maximin, protégée par les Dominicains. Cet endroit reste un lieu de pèlerinage assez fréquenté jusqu’à la destruction de la basilique et de la grotte à la Révolution, puis tout sera restauré en 1859. 

Les traces de Marie-Madeleine dans les Évangiles dit «apocryphes»

Depuis la première moitié du XXème siècle, l’on a des indications parallèles sur la figure de Marie-Madeleine, que nous livrent les textes gnostiques et les Évangiles dits «apocryphes». (1) Parmi ces nombreux évangiles, Marie-Madeleine est en réalité très peu citée, l’on a trois éléments que l’on peut associer à sa présence.

La compagne de Jésus

L’Évangile de Philippe fait allusion à Marie de Magdala comme compagne de Jésus : «Trois marchaient toujours avec le Seigneur, Marie sa mère et la sœur de celle-ci, et Myriam de Magdala que l’on nomme sa compagne. Car Myriam est sa mère, sa sœur et sa compagne. […] 

Le Seigneur aimait Marie plus que tous ses disciples et il l’embrassait souvent sur la bouche. Les autres disciples le virent aimant Marie et lui dirent : «Pourquoi l’aime-tu plus que nous tous ?» Le Sauveur leur répondit et dit : « Comment se fait-il que je ne vous aime pas autant qu’elle ?»[…]». 

Ce texte évoque les noces spirituelles, mystiques entre Dieu et l’âme humaine déchue, qui se réalisent grâce au Souffle, l’Esprit, que communique le Christ à ses véritables disciples initiés par un baiser sur la bouche, pour les faire entrer dans la chambre nuptiale. C’est également par le baiser que s’opère la transmission entre initiés. 

Marie-Madeleine, modèle du disciple parfait

Myriam de Magdala apparaît plus logiquement comme le modèle du disciple parfait. C’est la raison pour laquelle les autres disciples sont jaloux. Symboliquement elle présente l’union du masculin et du féminin comme l’image en ce monde de l’union de l’âme à Dieu. 

C’est l’union de l’anima-animus, l’union du Roi et de la Reine que l’on trouve dans l’Alchimie, union qui donne naissance au Soi, l’Enfant de Lumière, l’Enfant de Sagesse, le «Germe d’Or». C’est l’Illumination, le moment où l’âme se restitue jusqu’à son plan céleste. 

Le maître représente le maître extérieur mais aussi le maître intérieur, le Principe du Logos qui, par la voie de la Sagesse, en union avec l’âme, conduit à cet état d’éveil, de restitution. Il s’agit donc d’une union purement spirituelle et de cette Etreinte sacrée, ne naît pas un être de chair, ce qui serait, pour les Gnostiques, descendre encore dans la matière et donc dans l’obscurité, mais une âme lumineuse qui remonte au Ciel. 

Marie-Madeleine, la mémoire de Jésus

Dans l’Évangile dit «de Marie», Marie-Madeleine est présentée comme celle qui conserve le souvenir de Jésus, que les autres disciples ne connaissent pas. Elle est une sorte de mémoire. Pierre dit à Marie : «Sœur, nous savons que l’Un Seigneur t’a aimée différemment des autres femmes. Dis-nous les paroles qu’Il t’a dites, dont tu te souviens et dont nous n’avons pas connaissance.» 

André met en doute les propos de Marie, relayé par Pierre qui ajoute : «Est-il possible que l’Un Seigneur se soit entretenu avec une femme sur des secrets que nous nous ignorons ? Devons-nous changer nos habitudes, écouter tous cette femme ? L’a-t-il vraiment préférée à nous ?» 

Il s’agit donc d’une véritable relation maître-disciple, le disciple étant dépositaire du secret ultime, c’est l’initié qui a reçu l’enseignement. 

Les deux modèle de Marie-Madeleine : la Vierge et l’Amante

Les textes bibliques et évangéliques mentionnent deux archétypes féminins que l’on retrouve dans le christianisme : la Vierge, qui apparaît en réalité avant les Évangiles, comme l’archétype de la Mère, la Déesse-mère universelle, Démeter ; l’Amante divine ou la «prostituée», la maîtresse, la fiancée, la courtisane, celle qui est amoureuse, qui apparaît déjà en Mésopotamie avec le mythe d’Ishtar, riche et complexe, autre facette de l’archétype Aphrodite. 

L’âme cherche à s’unir à la Lumière

L’archétype de l’Amante sous-tend l’interprétation symbolique, gnostique, du «mythe» de Marie-Madeleine : le Christ est présence de la Lumière, du Logos, et Marie-Madeleine symbolise la Sainte Fiancée, l’âme qui cherche par l’intermédiaire d’Éros à s’unir de façon mystique à cette Lumière. 

«Lorsque vous ferez les deux êtres un, que vous ferez le dehors comme le dedans, et le haut comme le bas, et si vous faites le mâle et la femelle en un seul afin que le mâle ne soit plus mâle et que la femelle ne soit plus femelle, alors vous rentrerez dans le Royaume.» 

L’Évangile de Thomas évoque ainsi la nécessaire recherche d’une complétude, d’une unité, d’une harmonie pour s’accomplir, en assumant la dualité du monde, ses difficultés. 

Dans une autre clé, Marie-Madeleine et l’Apôtre Jean sont deux figures initiatiques. Jean représente le pôle masculin, en rapport avec le Logos, c’est l’enseignement ésotérique ; Marie-Madeleine est le pôle féminin lié à l’Amour, à l’Eros, c’est la puissance de l’immanence qui reçoit la Lumière. 

Ainsi, Marie-Madeleine présente de multiples visages, un mystère que l’Histoire n’a pas fini d’élucider. 

(1) Voir article sur écrits gnostiques page 10

A lire 

Les sept visages de Marie-Madeleine, Jacqueline Kelen, Les éditions du Relié, 2006 
Marie-Madeleine et le Grand Œuvre, Brigitte Barbaudy-Ngoma, MCOR, 2004 
Marie-Madeleine et Jésus, Richard Khaitzine, MCOR, 2005


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

23 novembre 2012

Les sept dons de l'Esprit



Voici les sept dons de l'Esprit Saint reçus lors du sacrement de la confirmation.

La Sagesse pour que ton coeur reconnaisse la présence de Dieu. Ainsi tu lui donneras une place importante dans ta vie, souvent tu l'écouteras et lui parleras. Tu auras le goût de Dieu et de tout ce qui le concerne.
L'Intelligence pour que tu sois capable de comprendre la Parole de Dieu et d'en vivre chaque jour.
Le Conseil pour que tu puisses choisir correctement quoi faire pour vivre en vrai chrétien, surtout dans les moments importants et difficiles de ta vie.

La Connaissance pour t'aider à comprendre le vrai sens de ta vie avec les autres dans le monde... pourquoi la mort?... la souffrance?... l'amour?...

La Fraternité (ou l'Affection filiale) pour te rendre capable d'aimer Dieu et ton prochain: tes parents, tes amis, tous ceux et celles qui vivent avec toi, et même ceux-là qu'il t'est plus difficile d'aimer.
La Force pour te permettre de prendre courageusement une décision, de vaincre les obstacles qui se présentent à toi, de changer de direction si c'est nécessaire.

L'Émerveillement (ou l'Adoration et la Louange) pour te rendre capable de reconnaître Dieu en toute confiance quand il se manifeste à toi, de le prier très simplement, de le remercier pour les merveilles qu'il fait pour toi!


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Neuvaine à Saint Antoine de Padoue




Cette neuvaine dois être dite neuf mardis consécutifs et chaque fois laisser une bougie allumée à l’église et une copie de la prière pour aider d’autres personnes en détresse et aussi protéger la dévotion à St Antoine de Padoue. 

GRAND SAINT –ANTOINE accordera ce que vous demandez quelque soient les difficultés, les peines et les tourments. Demandez la paix, afin qu’elle soit dans votre cœur. 

Tout vous sera accordé avant la fin du 9ème jour. 

« Dieu soit loué. O Reine du très Saint-Rosaire. Priez pour nous » 

Saint-Antoine de Padoue, j’ai recours à votre protection et comme preuve de ma foi et de mon affection pour vous je vous offre cette bougie. 

Saint-Antoine, je vous supplie, voyez la situation ou je me trouve, réconfortez-moi dans ma détresse. Intercédez pour moi et ma famille auprès du Sauveur Jésus-Christ afin que nous conservions toujours l’amour de Dieu dans nos cœurs. 

Assistez-nous dans les nécessités de la vie. O Saint-Antoine de Padoue écoutez nos prières, ayez pitié de nous, accordez-nous les faveurs que nous sollicitons (exposer nos demandes). 

Je vous prie, aidez-nous à surmonter toutes ces difficultés que nous venons déposer à vos pieds. Je crois en vous. J’ai confiance en vous. Amen 

(Dire 3 Pater Noster, 3 Avé Maria, 3 Gloria)


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Prière pour la réconciliation, la guérison et la libération de l’arbre généalogique


Merci Seigneur, pour le don de la vie et pour tous les biens dont Tu nous as comblés dans la famille que Tu as choisie pour nous depuis le moment de notre conception, de notre naissance et de notre baptême.Tu connais Seigneur les souffrances et les difficultés que nous rencontrons dans nos familles. 

Seigneur Jésus-Christ, Tu es le serviteur qui as pris sur Toi, l’iniquité, les fautes et le châtiment de tous, tu nous as offert la guérison et la libération. Tu es le Juste qui “porte le péché des multitudes et intercède pour les criminels.” (1P3,19) Je viens devant Toi au nom de tous les membres de ma famille.

Veuille m’accepter comme le représentant de tous mes ancêtres, de tous les membres défunts de toutes les lignées généalogiques, de toutes les générations qui ne sont pas encore dans ta Lumière et dans ton Amour. Veuille les recouvrir de ton Sang Précieux : « Que les eaux de mon baptême refluent sur toutes les générations passées de mon arbre généalogique ». Toi, Jésus, Tu nous as réconciliés avec Dieu le Père des miséricordes et de toute consolation et «Tu nous as confié le ministère de la réconciliation»(2Co 5,18). 

J’invoque le pardon de Ta Croix sur eux tous. Je dresse et plante la croix de Jésus dans toutes les générations qui m’ont précédé. Je veux moi aussi pardonner, bénir tous les ancêtres qui ont laissé des influences négatives dans notre descendance(dire leurs noms et leurs influences si vous en avez connaissance, en silence). Par Toi, ô Christ miséricordieux, nous, leurs descendants (dire les noms), leur pardonnons du fond du cœur et nous les bénissons. Nous les assurons au nom de Jésus, qu’aucun d’entre nous, aucun vivant de leur connaissance ne leur en veut, ne les juge, ne les critique ou les condamne pour n’importe quel acte qu’ils ont commis durant leur vie terrestre. 

Par Ton Cœur transpercé ô Jésus, nous leur demandons pardon du fond du cœur si nous les avons offensés, accusés, rejetés, lésés, maltraités, abandonnés ; si à cause de nous ils ont été malheureux, blessés ; victimes de la haine, de la violence, de la honte, de la faim, de l’injustice et si nous ne les avons pas aimés comme ils le souhaitaient. 

Maintenant nous voulons « confesser les péchés et les iniquités de nos pères » (Lv 26,40), et nous repentir pour eux. Seigneur miséricordieux, nous te demandons pardon (péchés à dire en silence). 

Je me repens pour tout meurtre, avortement, injustice qu’ils ont commis, pour toute querelle de famille qu’ils ont eue, relative à des questions de biens et de propriété et qui nous ont divisés. Je me repens de toute perversion morale ou de toute implication qu’ils ont eue dans l’occultisme, le spiritisme , l’ésotérisme, le vaudou, le fétichisme et j’y renonce. 

En leur nom, je rejette Satan et toutes ses œuvres maléfiques. Je me repens spécialement de leur transgression du premier commandement de Dieu et de leur adoration de faux dieux et des idoles. 

Je renonce et m’oppose formellement à toutes leurs mauvaises pratiques et à toutes les conséquences de leurs liens mentaux…Je repousse tout ce qui a pu être malheureux et désordonné dans les mariages de ma famille. 

Je mets fin à toutes les haines enracinées dans ma famille. 

Jésus , que Ta miséricorde divine leur pardonne tous leur péchés. Que Ton Sang Précieux les lave de toute iniquité, coupe tous leurs liens. 

Que par la grâce du Sacrement Eucharistique du Christ mort pour eux, ils soient réconciliés avec les vivants et les morts et entrent dans la paix et la communion de Ton Amour, dans la joie éternelle du Christ Ressuscité. 

Que tous leurs descendants affectés par leurs désobéissances ou leurs rebellions soient déliés de toute malédiction, guéris et délivrés au Nom de Jésus. Ne permets pas que leurs péchés affligent encore notre famille. 

Nous demandons aussi pardon à tous les enfants défunts, les morts prématurés, les morts-nés de notre famille et de notre lignée généalogique, spécialement les bébés avortés, les victimes des fausses couches ou des grossesses extra-utérines que nous avons blessés, rejetés, négligés, pour qui nous n’avons pas prié ou fait dire des messes. 

Que Jésus les accueille dans son Cœur transpercé ! 
Que Marie la Mère Immaculée les prenne dans ses bras et les console ! 
Qu’ils soient déliés de tous les blocages qui pèsent sur eux et sur les membres de leurs familles. 



Coupure des liens

Prière à dire 3 fois à voix haute: 

Maintenant, au Nom de Jésus-Christ et par Son autorité, je m’oppose à toute malédiction et je romps toute malédiction lancée contre l’un ou l’autre membre de ma famille. J’appelle sur nous le Sang de Jésus-Christ. 

Au Nom de Jésus, je brise toute hérédité psychique et tout lien ou domination diabolique maintenus sur ma lignée familiale à cause de la désobéissance de l’un quelconque de mes aïeux. Je renonce à toutes les œuvres de Satan ainsi qu’aux pratiques occultes de mes ancêtres et j’adhère à Jésus-Christ, mon Seigneur et mon Sauveur, maintenant et pour toujours. 

Par le Nom de Jésus-Christ, je déclare coupés tous les liens négatifs entre nous et chacun des membres de notre famille, vivants ou défunts. Ô Seigneur notre Dieu, nous te remercions, nous Te bénissons et nous te glorifions. 

Amen


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria

Neuvaine à mon Ange Gardien



- signe de croix 
- prière 
- 3 dizaines 
- texte du jour 
- 2 dizaines 
- méditation 
- signe de croix

Prière :
0 Dieu qui, dans votre ineffable providence, avez daigné envoyer vos saints anges pour être nos gardiens, soyez libéral envers ceux qui vous implorent, placez-nous toujours sous leur protection et faites-nous jouir de leur éternelle compagnie. Par Jésus Christ, Notre-Seigneur. Ainsi soit-il.

Premier Jour
Ô très fidèle exécuteur des ordres de Dieu, très saint ange, mon protecteur, qui, depuis le premier instant de mon existence, veillez toujours avec sollicitude à la garde de mon âme et de mon corps, je vous salue, et vous remercie en union avec tout le chœur des Anges que la bonté divine a commis à la garde des hommes.
Je vous prie instamment de redoubler de prévenance pour me préserver de toute chute en ce présent pèlerinage, afin que mon âme se conserve toujours aussi pure, aussi nette qu'avec votre aide elle est devenue sous l'effet du saint baptême. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. Amen. 


Deuxième jour :
Ô mon compagnon très aimant, mon unique ami véritable, mon saint ange gardien qui, en tous lieux et en tous temps, m'honorez de votre vénérable présence, je vous salue et vous remercie, en union avec tout le chœur des Archanges chargés par Dieu d'annoncer les évènements grands et mystérieux.
Je vous prie instamment d'illuminer mon esprit de la connaissance de la Volonté divine et de disposer mon cœur à l'exécuter toujours parfaitement, afin qu'agissant sans cesse selon la foi que je professe, j'obtienne dans l'autre vie la récompense promise aux vrais croyants. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Troisième jour :
Ô mon maître très sage, mon saint ange gardien, qui jamais ne cessez de m'enseigner la véritable science des saints, je vous salue et vous remercie, en union avec tout le chœur des Principautés chargées de gouverner les esprits inférieurs pour assurer la prompte exécution des ordres divins.
Je vous prie instamment de veiller sur mes pensées, mes paroles, mes actes, pour que, me conformant en tout à vos salutaires enseignements je ne perde jamais de vue la sainte crainte de Dieu, principe unique et infaillible de la véritable sagesse. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Quatrième jour :
O mon très aimant éducateur, mon saint ange gardien, qui par d'aimables reproches et de continuelles admonitions, m'invitez à me relever de la chute, chaque fois que je suis tombé pour mon malheur, je vous salue et vous remercie, en union avec tout le chœur des Puissances chargées de refréner les efforts du démon contre nous.
Je vous prie instamment de tirer mon âme du sommeil de la tiédeur dans lequel elle vit actuellement et de lutter afin de triompher de tous mes ennemis. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Cinquième jour :
Ô mon très puissant défenseur, mon saint ange gardien, qui, en me montrant les pièges du démon, cachés dans les pompes de ce monde et dans les plaisirs de la chair, m'en facilitez la victoire et le triomphe, je vous salue et je vous remercie, en union avec tout le chœur des Vertus destinées par Dieu tout-puissant à opérer des miracles et à conduire les hommes à la sainteté.
Je vous prie instamment de me secourir dans tous les périls, de me défendre dans tous les assauts afin que je puisse avancer avec sécurité dans la voie de toutes les vertus, en particulier de l'humilité, de la pureté, de l'obéissance et de la charité, qui vous sont les plus chères et qui sont les plus indispensables au salut. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine 


Sixième jour :
O mon ineffable conseiller, mon saint ange gardien, qui, de la manière la plus efficace, me faites connaître la volonté de Dieu et les moyens les plus propres à l'accomplir, je vous salue et vous remercie, en union avec tout le chœur des Dominations élues de Dieu pour communiquer ses décrets et nous donner la force de dominer nos passions.
Je vous prie instamment de délivrer mon esprit de tous doutes importuns et de toutes pernicieuses perplexités, afin que, libre de toute crainte, je suive toujours vos avis qui sont des conseils de paix, de justice et de sainteté. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. Amen. 


Septième jour :
O mon avocat très zélé, mon saint ange gardien, qui, par d'incessantes prières, plaidez au ciel la cause de mon salut éternel et éloignez de ma tête les châtiments mérités, je vous salue et je vous remercie, en union avec tout le chœur des Trônes choisis pour maintenir les hommes dans le bien entrepris.
Je vous prie instamment de couronner votre charité en m'obtenant le don inestimable de la persévérance finale pour qu'à la mort, je passe heureusement des misères de cet exil aux joies éternelles de la patrie céleste. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Huitième jour :
O très doux consolateur de mon âme, mon saint ange gardien, qui par de suaves inspirations me réconfortez dans les vicissitudes de la vie présente et dans toutes les craintes concernant la vie future, je vous salue et vous remercie, en union avec tout le chœur des Chérubins qui, pleins de la science de Dieu, sont chargés d'éclairer notre ignorance.
Je vous prie instamment de m'assister tout particulièrement et de me consoler, aussi bien dans les adversités actuelles que dans la dernière agonie, pour que, séduit par votre douceur, je ferme mon cœur à tous les attraits trompeurs de cette terre afin de reposer dans l'espérance du bonheur futur. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Neuvième jour :
O prince très noble de la cour céleste, infatigable coopérateur de mon salut éternel, mon saint ange gardien, qui marquez chaque instant d'innombrables bienfaits, je vous salue et je vous remercie, en union avec tout le chœur des Séraphins qui, enflammés du divin amour, sont choisis pour embraser nos cœurs.
Je vous prie instamment d'allumer dans mon âme une étincelle de cet amour dont vous brûlez sans cesse afin que, ayant anéanti en moi tout ce qui est du monde et de la chair, je m'élève sans obstacles à la contemplation des choses célestes et, après avoir toujours fidèlement correspondu à votre amoureux empressement sur la terre, j'arrive enfin avec vous au Royaume de la gloire pour vous louer vous remercier et vous aimer durant tous les siècles. Ainsi soit-il. 

Ange de Dieu qui êtes mon gardien,
Eclairez-moi, gardez-moi, guidez-moi, gouvernez-moi,
Ô vous à qui je fus confié par la Miséricorde divine. 


Méditation :

Mon Saint Ange gardien,
je vous salue et je vous remercie.
Veuillez prier pour moi
et prier à ma place
dans tous les moments
où je ne peux formuler mes prières.
Daignez aussi,
dans la Lumière divine,
vous rencontrer avec les Anges gardiens
de ceux que j'aime le plus,
de tous ceux auxquels je m'intéresse spirituellement,
pour les éclairer, les protéger et les conduire.
Ainsi soit-il



Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
R.P. Antonio

NEUVAINE A MARIE QUI DEFAIT LES NOEUDS



1) Faire le signe de croix
2) Réciter l'acte de contrition. Demander pardon pour ses péchés et, surtout, prendre la ferme résolution de ne plus jamais les commettre.
3) Prier les trois premières dizaines du chapelet.
4) Lire la méditation propre à chaque jour de la neuvaine (du premier au neuvième jour).
5) Prier ensuite les deux dernières dizaines de chapelet.
6) Terminer avec la "Prière à Marie qui défait les noeuds".
7) Faire le signe de croix.

Acte de contrition :

Mon Dieu, j'ai un très grand regret de vous avoir offensé, parce que vous êtes infiniment bon et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le concours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser et de faire pénitence.

Prière à "Marie qui défait les noeuds" :

Vierge Marie, Mère du bel Amour, Mère qui n'as jamais abandonné un enfant qui crie au secours, Mère dont les mains travaillent sans cesse pour tes enfants bien aimés, car elles sont poussées par l'Amour divin et l'infinie Miséricorde qui déborde de ton coeur, tourne ton regard plein de compassion vers moi. Vois le paquet de "noeuds" qui étouffent ma vie. Tu connais mon désespoir et ma douleur. Tu sais combien ces noeuds me paralysent. Marie, Mère que Dieu a chargée de défaire les "noeuds" de la vie de tes enfants, je dépose le ruban de ma vie dans tes mains. Personne, pas même le Malin, ne peut le soustraire à ton aide miséricordieuse. Dans tes mains, il n'y a pas un seul noeud qui ne puisse être défait.

Mère toute puissante, par ta grâce et par ton pouvoir d'intercession auprès de ton Fils Jésus, Mon Libérateur, reçois aujourd'hui ce "noeud"..... (le nommer, si possible). Pour la gloire de Dieu, je te demande de le défaire, et de le défaire pour toujours. J'espère en Toi. Tu es l'unique Consolatrice que Dieu m'a donnée, tu es la forteresse de mes forces fragiles, la richesse de mes misères, la délivrance de tout ce qui m'empêche d'être avec le Christ.

Accueille mon appel. Garde-moi, guide-moi, protège-moi. Tu es mon refuge assuré. Marie qui défais les noeuds, prie pour moi.

Amen

Méditations :

Premier jour :
Sainte Mère bien aimée, très Sainte Marie, Toi qui défais les "noeuds" qui étouffent tes enfants, étends tes mains miséricordieuses vers moi. Je te remets aujourd'hui ce "noeud".... (le nommer), et toutes les conséquences  négatives qu'il entraîne dans ma vie. Je te donne ce "noeud" qui me tourmente, me rend malheureux(se) et m'empêche tellement de m'unir à Toi et à Ton Fils Jésus, mon Sauveur.

J'ai recours à toi, "Marie qui défais les noeuds" car j'ai confiance en toi et je sais que tu n'as jamais dédaigné un enfant pécheur qui te supplie de l'aider. Je crois que tu peux défaire ce "noeud" car Jésus te donne tout pouvoir.  J'ai confiance que tu accepteras de défaire ce noeud, car tu es ma Mère. Je sais que tu le feras parce que tu m'aimes de l'amour même de Dieu.

Merci ma Mère bien-aimée. "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.Qui recherche une grâce, la trouvera dans les mains de Marie.

Deuxième jour :
Marie, Mère très aimée, source de toutes les grâces, mon coeur se tourne vers Toi aujourd'hui. Je reconnais que je suis pécheur (pécheresse) et que j'ai besoin de ton aide. A cause de mes égoïsmes, de mes rancunes, de mes manques de générosité et de mes manques d'humilité, j'ai négligé très souvent les grâces que tu m'obtiens.

Je me tourne vers Toi aujourd'hui "Marie qui défais les noeuds", afin que tu demandes, pour moi, à ton Fils Jésus la pureté du coeur, le détachement, l'humilité et la confiance. Je vivrai cette journée en pratiquant ces vertus. Je te les offrirai comme preuve de mon amour pour Toi. Je remets dans Tes mains ce "noeud".... (le nommer), qui m'empêche de refléter la gloire de Dieu.  "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.  Marie offrit à Dieu chaque instant de sa journée.

Troisième jour :
Mère médiatrice, Reine du Ciel, toi dont les mains reçoivent et distribuent toutes les richesses du Roi, tourne vers moi tes yeux miséricordieux. Je dépose dans tes saintes mains ce "noeud" de ma vie...., toute la rancune, tout le ressentiment dont il est la source. 

Je te demande pardon, Dieu Père, pour mes fautes. Aide-moi maintenant à pardonner à toutes les personnes qui, consciemment ou inconsciemment, ont provoqué ce "noeud". C'est dans la mesure de mon abandon que Tu pourras le défaire. Devant Toi, Mère bien-aimée, et au nom de Ton Fils Jésus, mon Sauveur, qui a été si offensé, et qui a su pardonner, je pardonne maintenant à ces personnes..........., et je me pardonne aussi, pour toujours. 

Merci, "Marie qui défais les noeuds" de défaire dans mon coeur le noeud de la rancune, et le noeud que je te présente maintenant. Amen.   "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.   Celui qui veut des grâces se tourne vers Marie. 


Quatrième jour
Sainte Mère bien-aimée, accueillante pour tous ceux qui te cherchent, aie pitié de moi. Je dépose dans tes mains ce "noeud"........ Il m'empêche d'être en paix, il paralyse mon âme, m'empêche de marcher jusqu'à mon Seigneur et de mettre ma vie à Son service. 

Défais ce "noeud" de ma vie, ô ma Mère. Demande à Jésus la guérison de ma foi paralysée qui se laisse abattre par les pierres du chemin. Marche avec moi, Mère bien-aimée, pour que je prenne conscience que ces pierres sont en fait des amies, que je cesse de murmurer, et que j'apprenne à rendre grâce à tout instant et à sourire, confiant dans ton pouvoir.   "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.  Marie est le soleil et tout le monde bénéficie de sa chaleur. 

Cinquième jour :
"Mère qui défais les noeuds", généreuse et pleine de compassion, je me tourne vers toi pour remettre, une fois de plus, ce "noeud" entre tes mains............ Je te demande la sagesse de Dieu, pour que j'agisse sous la lumière de l'Esprit Saint pour dénouer toutes ces difficultés.   Personne ne t'a jamais vue en colère ; au contraire, tes paroles étaient tellement pleines de douceur que l'on voyait en toi le coeur de Dieu. 

Délivre-moi de l'amertume, de la colère et de la haine que ce "noeud" a fait naître en moi.  Mère bien-aimée, donne-moi ta douceur et ta sagesse et que j'apprenne à tout méditer en silence dans mon coeur. Et, comme tu le fis à la Pentecôte, intercède auprès de Jésus pour que je reçoive dans ma vie une nouvelle effusion de l'Esprit Saint. Esprit de Dieu, viens sur moi !   "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.   Marie est riche en puissance auprès de Dieu. 


Sixième jour

Reine de Miséricorde, je te remets ce "Meudon" de ma vie............, et je te demande de me donner un coeur qui sache être patient tandis que tu défais ce "noeud". 
Apprends-moi à persévérer à l'écoute de la Parole de Ton Fils, à me confesser, à communier, enfin, reste avec moi. Prépare mon coeur pour fêter avec les anges la grâce que tu es en train de m'obtenir. 
"Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.    Tu es toute belle, Marie, et aucune tâche ne t'a souillée. 

Septième jour :
Mère très pure, je me tourne vers toi aujourd'hui : je te supplie de défaire ce "noeud" dans ma vie.................., et de me libérer des emprises du Mal. Dieu t'a concédé un grand pouvoir sur tous les démons. Je renonce aujourd'hui aux démons et à tous les liens que j'ai eus avec eux. Je proclame que Jésus est mon unique Sauveur, mon unique Seigneur. 

Ô "Marie qui défais les noeuds", écrase la tête du Malin. Détruis les pièges qui ont provoqué ces "noeuds" dans ma vie. Merci, Mère très-aimée. Seigneur, libère-moi de ton précieux Sang !   "Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.   "Vous êtes la gloire de Jérusalem, vous êtes l'honneur de notre peuple". 

Huitième jour :
Vierge Mère de Dieu, riche en miséricorde, aie pitié de ton enfant et défais ce "noeud"..................., dans ma vie.   J'ai besoin que tu me visites, tout comme tu as visité Elizabeth. Apporte-moi Jésus pour qu'Il m'apporte l'Esprit Saint. Enseigne-moi à pratiquer les vertus de courage, de joie, d'humilité, de foi, et, comme Elizabeth, obtiens-moi d'être rempli(e) de l'Esprit Saint. Je veux que tu sois ma Mère, ma Reine et mon amie. Je te donne mon coeur et tout ce qui m'appartient : ma maison, ma famille, mes biens extérieurs et intérieurs. Je t'appartiens pour toujours. Mets en moi Ton coeur pour que je puisse faire tout ce que Jésus me dit de faire. 
"Marie qui défais les noeuds", prie pour moi.   Marchons alors, pleins de confiance, vers le trône de la grâce. 


Neuvième jour

Mère très Sainte, notre Avocate, Toi qui défais les "noeuds", je viens aujourd'hui te remercier de bien vouloir défaire ce "noeud"......................., dans ma vie. Tu sais la douleur qu'il me cause. Merci, ô ma Mère, de sécher dans ta miséricorde, les larmes de mes yeux. Merci de m'accueillir dans tes bras et de me permettre de recevoir une autre grâce de Dieu. 

"Marie qui défais les noeuds", ô ma Mère bien-aimée, je te remercie de défaire les "noeuds" de ma vie. Enveloppe-moi de ton manteau d'amour, garde-moi sous ta protection, illumine-moi de ta paix.   "Marie qui défais les noeuds", prie pour nous.


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
R.P. Antonio

La Paix



La paix est une source d’eau vive.
La paix est un trésor pour celui qui sait la recevoir.
Demander à Dieu la paix.

Paix de Jésus sur les nations.
Paix de Dieu sur les patries.
Paix de l’Esprit-Saint dans les cœurs.

La paix se choisit.

La paix est vécue en profondeur.
 Celui qui a su dire oui à Jésus sauveur, vivra la paix.
Tendre la main à Jésus.
Jésus à permis la paix à ses disciples afin que le feu se propage dans le cœur de l’Homme.

Esprit de Sainteté, vient rayonner dans les cœurs.
Esprit de vérité, vient habiter mon cœur.
Esprit de feu, viens manifester ta splendeur.
Viens Esprit de sainteté, viens Esprit de lumière, viens Esprit de feu.

Viens Jésus sauveur.
Et que la paix soit dans mon cœur.

Amen


Je vous béni avec Jésus et Marie, soyez forts de votre foi en Dieu.
Mgr Antonio Maria